Ces Antiracistes Cosmopolites “Bobo” de Gauche qui déménagent à cause de l’immigration-Invasion !

Alain Souchon veut quitter Paris, devenue « sale et violente »
Sans attaquer frontalement Anne Hidalgo, Alain Souchon rejoint la cohorte des déçus de la Ville Lumière, devenue pour beaucoup la ville poubelle.
Le chanteur dit ne plus reconnaître la capitale, plombée, selon lui, par une sourde violence. « De la violence dans la façon de traverser la rue sans regarder en se disant que ces connards s’arrêteront ! » raconte-t-il en guise d’exemple.
« J’ai toujours vécu à Paris et j’ai du plaisir à en sortir. Je ne me souviens pas que la ville ait jamais été aussi sale… »
Celui qui habite rive gauche explique qu’il continue de se balader incognito dans les rues ou le métro, flâner avec « casquette et lunettes » pour humer l’air du temps, regarder les passants et chercher l’inspiration. Mais ces promenades poétiques tournent parfois au désenchantement, notamment au coin des trottoirs… Et de conclure, un rien désappointé :
« J’ai envie de m’en aller de Paris »
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L’ Immigrationniste Didier Daeninckx quitte Aubervilliers à cause de l’Immigration-Invasion liée à l’Insécurité.
« Quitter Aubervilliers a été un arrachement » explique d’une voix calme l’auteur d’extrême-gauche. Mais à 70 ans, Didier Daeninckx a besoin de retrouver une certaine liberté d’esprit pour poursuivre son travail d’écrivain.
Aubervilliers n’est plus la ville populaire qui l’a vu grandir. Le signal fort qui l’a conduit à partir, s’est déroulé en 2014, au moment des élections municipales.
« Les politiques locales fonctionnant au clientélisme ont transformé les cités en ghettos, en lieux communautarisés », poursuit-il. « Aubervilliers, comme à Saint-Denis, a dépassé le seul des 50 % d’habitants vivant sous le seuil de pauvreté. C’est une marée de misère. Il n’y a plus que du commerce de survie ».
Daeninckx évoque les « points de deals en grand nombre, le parc immobilier privé métamorphosé en marchand de sommeil ». Il y a fait le constat d’une école publique « en grande souffrance ». L’écrivain assure que « marcher dans cette ville abandonnée est un désastre qui vous empêche de réfléchir ».
Ses pas l’amènent alors à Fontenay-sous-Bois. L’homme retrouve un peu de quiétude. « Je vais pouvoir commencer à écrire sans être oppressé. La liberté, la démocratie quand ça vous manque ou qu’on vous les confisque, ça vous bouffe la vie. »
Ce vieil adepte du « vivre ensemble » et grand pourfendeur de « l’extrême-droite » est donc le témoin privilégié de l’échec total de notre société multiculturelle… Et il se met à fuir comme tous les Français sains d’esprit qu’il a pourtant toujours méprisés !
Source : Le Parisien via Fdesouche