Pourquoi sommes-nous tristes ? Le remède, par Laurent Glauzy

La tristesse, comme la mort, sont les résultats du péché originel et de la perte du paradis terrestre.

Il faut par conséquent se réapproprier Dieu, entrer dans le Christ. Que devons-nous entendre de cette idée ? Entrer dans le Christ, qui est Amour, signifie s’abandonner à Lui, à sa volonté, pour qu’Il nous envoie les grâces du bonheur. Par exemple, un cas de tristesse peut être un amour déçu qui s’est enkysté en dehors des sacrements ou la perte d’une personne chère partie trop tôt. Dans les deux cas, il y a une perte, un manque, une cassure, une violence faite au coeur et à l’âme. Les larmes sont la manifestation de cette absence. L’abandon consiste et à ne pas se décourager et dire au Seigneur : “J’ai mal, mais je veux ce qu’il te plait. Et je vais même prier pour que ta Volonté soit mienne. Je me mets à tes pieds.”

Il faut agir ainsi avec confiance et pourquoi pas en plus du chapelet ou du rosaire, faire des neuvaines, celle de Marie défait les nœuds ou celle de Sainte Marthe (avec un cierge béni) sont très puissantes. À  travers ces neuvaines nous formulons donc à notre Dame une requête.

Il ne fait aucun doute que le Seigneur enverra des anges pour emplir nos cœurs avec de nouvelles perspectives taillées sur mesure qui chasseront la tristesse. Et cela peut aller très vite.

Les personnes tristes – et le catholicisme en compte bon nombre (le record du mal être est cependant dans la secte talmudiste) car trop conventionnelles aussi – n’ont pas cette confiance en Dieu, cet abandon. Quand on prie, il faut être certain que notre demande est entendue et sera exaucée. Les neuvaines sont particulièrement fortes et donnent des résultats inespérés, avant même qu’elles soient terminées.

Il faut dans cette confiance, apprendre à regarder la vie avec contemplation et penser que tout est volonté de Dieu. Nous devons avoir cette confiance en Lui et nous abandonner à son précieux Sang.

Pour prendre un cas banal, beaucoup de catholiques se plaignent de la présence de mosquées. Perso, c’est plutôt les synagogues. Eh bien, ce n’est pas grave ! ce n’est pas grave car c’est la volonté de Notre Seigneur. Quelle chance même de ne pas aller au Maghreb pour convertir. Nous avons déjà la matière sur place. Voilà un aspect positif parmi d’autres de voir les choses. De manière personnelle, j’avoue ne pas trouver encore pour les talmudistes des points positifs. (humour) Mais nul n’est parfait.

Autre cas. Ma femme mange beaucoup de saucisson et a une haleine de poney au petit matin. Et en plus elle est aimable comme une porte de prison. Réflexe de l’homme heureux : « Chérie, je pars faire une retraite saint Ignace (même si la quatrième de l’année) » et vous vous faites moine. De votre malheur, le Seigneur trouve votre chemin de Salut. Il faut toujours prendre soin de rester dans les Sacrements. En dehors des Sacrements, nous sommes dans le péché, dans le règne de Satan. Et ça finit toujours mal sur terre et pour l’Éternité.

Bref, comme le dit la publicité Carrefour, je dois « positiver ».

Une dame de quatre-vingts ans souffraient de douleurs. Elle eut le réflexe dire : « Jésus, je m’abandonne avec Toi sur la Croix ». Sa nuit fut particulièrement paisible.

Le bonheur devient donc notre intelligence à nous intégrer dans la confiance que l’on porte à notre Créateur.

Il n’est pas besoin de vider des tonneaux pour oublier mais de mettre son cœur à côté de celui de Jésus. Et ça marche génial! De nouvelles perspectives s’ouvrent à vous de manière incroyable. Vous redécouvrez le monde avec de nouvelles forces. Merci Seigneur.

 

 

 

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