2000 ans de Complot contre l’Eglise.

Présentation de l’éditeur : « Sans crainte d’exagération, on peut assurer qu’aucun autre livre au cours de ce siècle n’a été l’objet d’autant de commentaires dans la presse mondiale. Violemment défavorables furent ceux des communistes et de tous ceux que contrôlent les francs-maçons et les juifs, et extrêmement élogieux, ceux des rares revues catholiques indépendantes de ces forces sataniques, et qui eurent le droit d’exprimer librement leur point de vue. Chose vraiment inusitée en matière de publicité littéraire, un an après la diffusion de la première Édition italienne au Saint Concile, la presse des différentes nations du monde libre continue de parler de ce livre extraordinaire. »

biblio-antimanconnique-2000-ans-de-complot-contre-leglise« Nous mettons à votre disposition sur ce blog, le livre « 2000 ans de complot contre l’Église« , dont nous vous laissons le soin de lire la présentation, ainsi que la préface.
Nous pensons que ce livre est capital et justifie ce travail de mise en ligne, car sa lecture éclaire l’actualité politique, économique, culturelle et sociale. Ce grâce à l’important travail de recherche historique qu’a nécessité la rédaction de cet ouvrage, que vous ne trouverez bien entendu pas dans les librairies du « système ». Ah ! Le « système » d’ailleurs, parlons-en… voilà bien un mot fréquemment employé, mais combien de gens savent le définir ? Et bien après avoir lu ce livre, vous saurez de quoi il s’agit. Et même si vous êtes déjà tout à fait au courant de ce qui se passe « derrière le rideau », nous sommes certains que ce livre vous apportera des informations rares à propos de différents épisodes tragiques de l’Histoire.
Alors à qui profitera ce livre ? A tous, tout simplement. De par le caractère mondial des faits évoqués, il n’y a pas un peuple, pas une culture, pas une religion, pas une nation qui ne puisse se sentir concerné et apprendre des choses dans ce livre. Les maçons sauront pourquoi ils œuvrent. Les juifs verront quelles horreurs peuvent engendrer leurs croyances erronées. Les adeptes de l’islam, trouveront des éclaircissements sur certaines périodes de leur Histoire. Et bien sûr les catholiques, auxquels le système fait tout pour leur faire perdre la foi et qui sauront ainsi d’où vient le danger… Ou encore tous les peuples restant sous le joug du communisme ou menacés par lui et ceux qui le furent et dont les bourreaux d’hier sont toujours libres, etc…
(…) Alors lisez ce livre et diffusez-le !

N.B : Certaines annotations de ce livre peuvent être manquantes dans les pages du blog, en raison des copiés-collés peu pratiques à réaliser. Pensez-donc à télécharger la version PDF. »


Ière Partie : Le moteur secret du Communisme

IIème Partie : Le pouvoir occulte à travers la Maçonnnerie

IIIème Partie : La Synagogue de Satan

IVème Partie : La cinquième colonne juive dans le clergé

APPENDICE :

ANNEXE

POSTFACE

Citations :

Il est si évident que la Maçonnerie n’est qu’un outil aux mains des juifs, et que ce sont eux qui la gèrent, que l’on serait tenté de croire que les maçons non-juifs ont perdu la faculté de raisonner le jour même ou pour la première fois ils leur ont bandé les yeux.

 

Les dogmes de la Maçonnerie sont ceux de la Cabale juive et en particulier ceux de son livre « Zohar » (lumière).

« Quand la République sera-t-elle établie dans toute la vieille Europe ? » écrivait l’Almanach des Franc-maçons qui répondait aussitôt : « ce sera lorsqu’Israël règnera en autocrate sur cette vieille Europe »

 

Puisque les conspirateurs juifs, franc-maçons et communistes, profitant de la méconnaissance par la majorité du clergé de la véritable histoire de l’Eglise, prétendent, comme ils le disent, exécuter un coup de mains par surprise lors du prochain Concile pour faire en sorte que le Saint Concile œcuménique qui est en train de se réunir condamne l’antisémitisme et quiconque combat les juifs, qui, comme nous le démontrerons dans ce livre, sont les dirigeants de la Maçonnerie et du Communisme international ; puisque les mêmes conspirateurs prétendent que les juifs réprouvés, considérés comme mauvais par l’Eglise pendant dix neuf siècles, soient désormais déclarés bons et être les préférés de Dieu, contredisant en cela « l’unanimis consensus Patrum » qui a établi précisément le contraire, comme l’ont affirmé diverses Bulles des Pontifes et les Canons de Conciles œcuméniques et provinciaux; puisque les juifs et leurs complices dans le clergé catholique considèrent comme « antisémitisme » toute résistance combattive contre les méfaits des juifs et leurs conspirations contre Notre-Seigneur Jésus-Christ et la Chrétienté, et qu’ils ont déclaré comme nous le montrerons aussi dans ce livre que les sources de l’antisémitisme ont été ce même Jésus-Christ, les Evangiles et l’Eglise Catholique, qui pendant pratiquement deux mille ans ont lutté continuellement contre les juifs qui ont répudié le Messie : ce qu’ils cherchent donc par la condamnation de l’antisémitisme, qu’ils appellent quelquefois « le racisme antisémite », c’est que Sa Sainteté le Pape et le Concile qui se réunit actuellement par cette condamnation établissent un précédent catastrophique, celui d’une Egise qui se contredit elle-même et qui, sans s’en rendre compte, condamne ainsi Notre-Seigneur Jésus-Christ, les Saints Evangiles, les Pères de l’Eglise et la majorité des Papes.

 

… ce furent précisément les prêtres et les rois qui pendant quasiment près de dix-huit siècles firent échouer l’une après l’autre les entreprises juives tendant à mettre le monde en esclavage.

2000ans-logo

Histoire de l’ouvrage :

biblio-antimanconnique-2000-ans-de-complot-contre-legliseVoici enfin, après trente ans d’attente, une version francaise du célèbre ouvrage de Maurice Pinay « Complot contre l’Eglise » paru à Rome en 1962 et distribué alors aux Pères conciliaires dans l’espoir des auteurs que cette somme d’informations prémunirait les Pères contre les tentatives de reniement annoncées de la Tradition et des enseignements de vingt siècles. Il n’en fut hélas rien. Après la première version italienne quelque peu abrégée de onze chapitres, ce livre fut traduit et publié en allemand, puis en espagnol et enfin connut une nouvelle édition définitive et augmentée en espagnol en 1968, et c’est cette dernière version qui vient enfin d’être traduite en francais. L’ouvrage devait à l’origine paraître en deux tomes, le second consacré à la subversion antichrétienne contemporaine. Mais le second tome ne parut pas. Lors de la parution de la première édition en italien en 1962, cet ouvrage fut qualifié de « pamphlet » dans une recension calomnieuse signée d’un rédacteur de l’hebdomadaire du Vatican « Corriere della Domenica », ce qui témoignait de l’esprit déjà alors en vigueur au Vatican et du personnel nouveau en place. Le lecteur jugera si ce monument d’érudition historique érudite est un « pamphlet ». Ce livre sans aucun doute suscité par plusieurs membres de la Curie fidèles fut l’oeuvre collective de clercs érudits, sous la direction d’un savant Père Jésuite, aidé d’équipes de chercheurs travaillant tant auprès des facultés Romaines que de plusieurs universités d’Amérique du Sud, notamment celle de Guadalajara au Mexique. A la présente édition française, traduite de la réédition espagnole de 1968 des Editions Mundo Libre de Mexico, les éditeurs ont cru bon de donner le titre de : « 2000 ans de complots contre l’Eglise » Souhaitons que le lecteur français, en prenant connaissance de ce document, fasse son profit de sa précieuse documentation historique qui fait ouvrir les yeux sur nombre de points méconnus de l’histoire européenne autant que de l’histoire de l’Eglise. Tout ce que redoutaient les auteurs s’est hélas produit, et les Catholiques trente ans plus tard, devant les désastres épouvantables accumulés par cette forfaiture des ennemis infiltrés, supplient Dieu qu’Il veuille sauver et ressusciter la Sainte Église. Il est plus que temps d’obéir enfin à la demande de Notre-Dame : Prière et Pénitence (source: balderexlibris.com)


Ouvrages traitant de ce thème:

LA CONJURATION ANTICHRETIENNE de Mgr Delassus

La question de la conjuration antichrétienne, dont la secte judéo-maçonnique est l’âme et le bras, est le sujet du présent livre. L’auteur ne s’est point arrêté à rechercher les origines de la secte ; il ne s’est point attaché à l’étudier aux points de vue divers où d’autres publicistes se sont placés. Ce qu’il a voulu mettre en lumière, c’est la part d’action que la secte judéo-maçonnique a dans la guerre livrée à l’institution catholique et à l’idée chrétienne, et le but de cette guerre. Comme vous pourrez l’étudier dans ce livre, cette guerre a pour but d’arracher l’humanité à l’ordre surnaturel fondé sur la Rédemption du divin Sauveur et de la fixer définitivement dans le naturalisme. Le problème d’aujourd’hui est celui de la résistance que le naturalisme oppose à l’état surnaturel que Dieu a daigné offrir à ses créatures intelligentes. Ainsi considéré, le problème embrasse tous les temps. Il s’est posé la création des anges, au paradis terrestre, au désert où le Christ a voulu se soumettre à la tentation ; il restera posé, pour la chrétienté et pour chacun de nous, jusqu’à la fin du monde. Il y a lutte entre la civilisation chrétienne qui est en possession d’état et la civilisation moderne qui veut la supplanter. Quelle sera l’issue de cet antagonisme ?     

(740 p., 23,50 €)

 

Autres ouvrages:

 

Le satanisme au Vatican

Le 21 juin 1963, Giovanni Battista Montini, devient pape sous le nom de Paul VI. Quatre années plus tard, en 1967, Yves Saint Laurent publie chez l’éditeur Claude Tchou « La Vilaine Lulu », un album de bandes dessinées qui énumère les pratiques criminelles des sectes sataniques. L’ouvrage du célèbre couturier français porte en introduction la mention : « toute ressemblance avec des personnes qui existent ou qui ont existé est parfaitement voulue. Toutes ces aventures ont été tirées de faits réels ». Or, Lulu, l’incarnation du mal dessinée par Yves Saint Laurent, parvient au sommet de l’Eglise. C’est précisément ce que des prêtres catholiques dénoncent en ces termes : « L’intronisation de Lucifer, l’Archange déchu, s’est déroulée au sein de la Citadelle Catholique Romaine, le 29 juin 1963 », une semaine après le couronnement du pape. 29 juin 1963, inauguration du Temps du Prince de ce monde

« À partir du moment où le Conclave s’était terminé, le 21 juin 1963, avec l’élection de Paul VI, le temps d’organiser l’Événement était plutôt court, mais le Tribunal Suprême avait décrété qu’aucune autre date ne pouvait être mieux adaptée pour l’Intronisation du Prince que celle de la fête des saints Pierre et Paul et qu’aucun autre lieu ne pouvait être meilleur que la Chapelle Saint Paul, située qu’elle était si près du Palais Apostolique. […]

Le but ultime n’était pas de liquider l’organisation Catholico-Romaine, mais de la transformer en quelque chose de vraiment utile, en la rendant homogène et assimilable à un grand ordre mondial qui s’occuperait exclusivement de questions humaines avec des objectifs purement humains. […] Son Nom sera « l’Église Universelle de l’Homme ».

En 1972, Paul VI choisit la date du 29 juin pour faire son discours sur « la fumée de Satan qui est entrée dans l’Église ». Les célébrations du 15ème anniversaire de Pontificat de Paul VI se déroulèrent le 29 juin 1978. Pourquoi ne pas avoir choisi la date de son couronnement au lieu de celle de l’intronisation de Lucifer ?

Dans son livre « Windswept house », l’auteur jésuite et exorciste, Malachi Martin, écrit aux pages 492-493 :

« À l’improviste, il devint indiscutable qu’à présent, durant ce Pontificat, (Jean Paul II), l’organisation de l’Église Catholique Romaine portait une présence permanente de clercs qui pratiquaient le culte de Satan et l’aimaient ; des Évêques et des Prêtres qui sodomisaient des garçons et se sodomisaient entre eux ; des sœurs qui pratiquaient les « Rites Noirs » de la Wicca et qui vivaient en relations lesbiennes … Tous les jours, y compris le dimanche et les jours saints, des actes d’hérésie et de blasphème étaient commis et permis sur les sacrés Autels par des hommes qui avaient été appelés à être prêtres. Des actions et des rites sacrilèges non seulement étaient accomplis aux saints Autels du Christ, mais ils avaient la connivence ou tout au moins la permission tacite de certains Cardinaux, Archevêques et Évêques… Au nombre total c’était une minorité – quelques chose comme un à dix pour cent du personnel de l’Église. Mais de cette minorité, beaucoup occupaient de façon surprenante des positions ou des rangs élevés (chancelleries, séminaires et universités)… Les faits graves et inquiétants étaient principalement deux : les liens systématiques d’organisation – autrement dit le réseau – qui avaient été établis entre quelques groupes de clercs homosexuels et des confréries de satanistes et la puissance et l’influence effrénée de ce réseau ».

L’année 2006, aux États-Unis, fut publié le livre de la fameuse chercheuse américaine, la doctoresse Randy Engel, intitulé: « The Rite of Sodomy – Homosexuality and the Roman Catholic Church ». Plus qu’un livre, c’est une « encyclopédie de l’horreur » qui en 1.282 pages, 4.523 notes et plus 350 livres de bibliographie, décrit jusque dans les détails les plus scabreux, le monde de corruption et de perversion sexuelle d’une partie du clergé catholique américain qui semble avoir atteint des limites inimaginables. […]

Le livre se termine par la Section V : « Le Vatican et les pièces finales du puzzle » qui finit par ces mots: « Aucun changement significatif dans la doctrine ou dans la discipline de l’Église, ne peut avoir lieu sans la volonté d’un Pape ! ».

La Franc-maçonnerie elle-aussi connaît bien cette règle. En effet déjà dans le temps, Nubius, Chef de la Haute-Vente, c’est-à-dire Chef du satanique Ordre des Illuminés de Bavière, avait programmé un plan de destruction de l’intérieur, de l’Église Catholique prévoyant une Révolution qui devait partir du haut. Tous leurs efforts tendaient en effet à faire élire un Pape qui fût un des leurs ! Un tel pape fut Paul VI, le Pape qui changea l’Église!

Le Père Gabriele Amorth lui aussi, exorciste officiel du diocèse de Rome, est au courant de l’existence de sectes sataniques parmi le clergé, à Rome. Dans un extrait de ses mémoires, on peut lire :

  • – Satanistes au Vatican ?« Oui, même au Vatican il y a des membres de sectes sataniques ».
  • – Et qui en fait partie ? S’agit-il de prêtres ou de simples laïcs ?
  • « Il y a des Prêtres, des Prélats et même des Cardinaux ».
  • – Excusez-moi, monsieur l’abbé, mais vous comment le savez-vous?
  • « Je le tiens de personnes qui ont pu me le rapporter parce qu’elles ont pu le savoir directement. Et c’est une chose « confessée » plusieurs fois par le Démon lui-même sous obéissance pendant les exorcismes ».
  • – Le Pape en est-il informé?
  • « Bien sûr qu’il en a été informé! Mais il fait ce qu’il peut. C’est une chose terrifiante. Et puis réfléchissez que Benoît XVI est un Pape allemand, il vient d’une nation décidément hostile à ces choses. En Allemagne en effet, il n’y a pratiquement pas exorcistes, et pourtant le Pape y croit : j’ai eu l’occasion de parler avec lui trois fois, lorsqu’il était encore Préfet de la Congrégation pour la Doctrine de la Foi. Bien sûr qu’il y croit !… »
  • – Alors est-ce vrai ce que disait Paul VI : que la « fumée de Satan » est entrée dans l’Église?
  • « C’est malheureusement vrai parce que même dans l’Église, il y a des adeptes des sectes sataniques. Cette particularité de la « fumée de Satan », Paul VI en référa le 29 juin 1972. Certes, il a rompu la glace en soulevant le voile du silence et de la censure qui durait depuis trop longtemps, mais cela n’a pas eu de conséquences pratiques. Il en fallait un comme moi qui ne vaut rien, pour donner l’alarme, pour obtenir des effets pratiques ».

Donc, comme l’a affirmé le père Amorth, Benoît XVI est au courant du fait qu’au Vatican , il y a des Cardinaux, des Évêques et des Prêtres qui sont membres de sectes sataniques, « mais il fait ce qu’il peut » !Paul VI lui aussi savait que la « fumée de Satan » était entrée dans l’Église et pour le dire il choisit exprès le même jour, le 29 juin, jour où furent célébrées les deux Messes noires pour introniser Satan au Vatican. Et même « s’il a soulevé le voile de silence et de censure qui durait depuis trop longtemps », cela « n’a cependant pas eu d’effets pratiques ».

On pourrait penser qu’après l’invocation à Lucifer de l’ex-Évêque de Charleston, Mgr John Joyce Russel :

«… avec l’Étole de toutes les Impiétés, je remets dans tes mains la Triple Couronne de Pierre, selon la volonté adamantine de Lucifer, afin que tu puisses régner ici…», et après la déposition de la Tiare de la part de Paul VI, le 23 novembre 1964 et aussi après l’élimination de la Tiare des Armoiries Apostoliques de la part de Benoît XVI, ces deux Papes ne pourraient que se résigner à « parler sans avoir d’effets pratiques » et à « faire ce qu’on peut », car en éliminant la Tiare, ils ont exprimé leur volonté de ne plus gouverner l’Église !

Pourquoi la décision de déposer la Tiare et de l’éliminer des Armoiries du Saint Siège ? S’agit-il d’une décision personnelle ou imposée par quelqu’un ? […]

 

Désormais font partie de l’histoire, les faits suivants :

  • la décision d’élire Pape le cardinal Roncalli fut prise par la Franc-maçonnerie.
  • l’élection du cardinal Montini comme Pape est due à l’intervention de quelques membres de la Haute Franc-maçonnerie juive des B’naï B’rith.
  • le choix du cardinal Karol Wojtyla comme successeur sur le siège pontifical fut fait par Zbigniev Brzezinski, chef des B’naï B’rith de Pologne et son grand électeur au conclave fut le franc-maçon cardinal König.
  • Que ce soit la Franc-maçonnerie à élire le Pontife est prouvé par la lettre du cardinal Baggio écrite au grand Maître de la Franc-maçonnerie italienne, aussitôt après la mort de Paul VI, dans laquelle il lui offrait ses services, lui rappelant aussi la promesse de le faire Pape.

Fait également partie de l’histoire toute la documentation publiée et jamais démentie qui démontre l’appartenance à la Franc-maçonnerie de Roncalli, Montini et Baggio, de même que les Prélats que Montini plaça aux postes clefs du Vatican et de l’Église dans la monde.

L’œuvre de démolition de l’Église Catholique – comme le savait bien Mgr John Joyce Russel – n’était pas de « supprimer l’organisation Catholique Romaine, mais de la transformer en quelque chose de vraiment utile, en la rendant homogène et assimilable à un grand ordre mondial qui s’occuperait exclusivement de questions humaines avec des objectifs uniquement humanistes », et ce, grâce à la création d’une « Maison de l’Homme sur la Terre », une « Nouvelle Ère de l’Homme » et « une Église Universelle de l’Homme »…

Source : Chiesa viva via bouddhanar.blogspot.fr

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D’autres lectures inspirantes :

 

Blog : 2000 ans de Complot contre l’Eglise : https://explicithistoire.wordpress.com/bibliotheque/2000-ans-de-complot-contre-leglise/

Un commentaire

  • dom64verona88chrysostomos

    O, mes chers Amis,
    Il est plus que temps de répondre aux appels de N.D.de La Salette, de N.D. de Fatima: le Saint Rosaire, à en perdre haleine et oublier sa fatigue! Je ne suis qu’un pauvre pécheur comme tout le monde, mais cela, au moins, je le sais!

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