Découverte majeure : la preuve d’un lien entre aluminium et autisme

Il y a des découvertes qui devraient faire la une de tous les journaux. Celle du Pr Christopher Exley, spécialiste mondial de la toxicité de l’aluminium (Université de Keele en Angleterre) est de cet ordre.

Les équipes de l’hôpital Henri-Mondor de Créteil sont déjà parvenues à démontrer que l’aluminium vaccinal, sous forme de particules fines (Hydroxyde d’aluminium), est capté par les cellules immunitaires au site d’injection. Ces cellules vont ensuite migrer dans le corps pour finir, en partie, par entrer dans le cerveau en traversant la Barrière Hémato-Encéphalique (c’est d’autant plus faisable chez le nourrisson dont la BHE est immature les premiers mois).

L’aluminium n’est pas un élément comme les autres : il est neurotoxique, extrêmement biopersistant, et sans aucune fonction biologique. Une quantité infime suffit à provoquer des inflammations : c’est bien cette propriété qui fait de ce métal un excellent adjuvant dans les vaccins, capable de provoquer une réaction immunitaire.

Le Pr Exley a enfin pu analyser le cerveau de 5 personnes décédées et diagnostiquées autistes : le résultat est sans appel. Les 5 cerveaux contiennent tous des doses anormalement élevées d’aluminium, plus spécifiquement, de l’aluminium inclus dans des cellules immunitaires, signe d’une origine vaccinale. Seuls les cerveaux de malades d’Alzheimer ont des concentrations encore plus élevées.

Résumons : nous injectons un neurotoxique à nos nourrissons, sachant que la Barrière Hémato-Encéphalique est immature la première année de vie. Nous savons que ce neurotoxique pénètre le cerveau, d’autant plus facilement chez le bébé qu’il n’est pas en mesure d’éliminer les métaux lourds (fonction rénale immature).

Nous voyons en parallèle depuis plus de 20 ans, c’est-à-dire depuis la multiplication des vaccinations adjuvantées à l’aluminium chez le nourrisson, l’explosion des troubles neurologiques (spectre autistique, troubles du comportement, troubles moteurs, du langage…). Nous avons maintenant une première preuve du lien entre autisme et aluminium.

Et à partir du 1er janvier 2018, ces injections d’aluminium deviennent obligatoires (même si elle l’est déjà depuis 2008, depuis la suppression du DTP sans adjuvant).

Alors on fait quoi ?

 

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