Nous sommes Tous des “Suspects”.

Vincent Peillon l’a bien écrit dans son livre : “La révolution n’est pas terminée”.

Il a Ô combien raison !!!

Pour parfaire la Loi des Suspects ou Loi des Fiches de 1793, nous sommes Tous soumis au contrôle facial désormais.

Cette méthode qui consiste à Ficher une population a déjà été expérimentée à Nice :

 

 

“La Liberté ou la Mort” est le Nom de Code de la Loi des Fiches.

Si vous ne pensez pas comme on vous demande de penser, vous ne méritez que la Mort.

 

Décret du 17 septembre 1793 relatif aux gens suspects

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Décret du 17 septembre 1793 relatif aux gens suspects

Le décret du 17 septembre 1793 relatif aux gens suspects, souvent appelé, à tort « loi des suspects », est un décret adopté le 17 septembre 1793 par la Convention nationale française, en application de la loi du 12 août précédent, qui prescrivait « l’arrestation des suspects ». Il fut publié dans les colonnes du Moniteur le 19 septembre suivant.


Art. 1er. Immédiatement après la publication du présent décret, tous les gens suspects qui se trouvent dans le territoire de la République, et qui sont encore en liberté, seront mis en état d’arrestation.

Art. 2. Sont réputés gens suspects :

  • 1° ceux qui, soit par leur conduite, soit par leur relations, soit par leur propos ou leurs écrits, se sont montrés partisans de la tyrannie ou du fédéralisme, et ennemis de la liberté ;
  • 2° ceux qui ne pourront pas justifier, de la manière prescrite par le décret du 21 Mars dernier, de leurs moyens d’exister et de l’acquit de leurs devoirs civiques ;
  • 3° ceux à qui il a été refusé des certificats de civisme ;
  • 4° les fonctionnaires publics suspendus ou destitués de leurs fonctions par la Convention nationale ou ses commissaires, et non réintégrés, notamment ceux qui ont été ou doivent être destitués en vertu du décret du 14 août dernier ;
  • 5° ceux des ci-devants nobles, ensemble les maris, femmes, pères, mères, fils ou filles, frère sou sœurs, et agens d’émigrés, qui n’ont pas constamment manifesté leur attachement à la révolution ;
  • 6° ceux qui ont émigré dans l’intervalle du 1er juillet 1789 à la publication du décret du 30 mars – 8 avril 1792, quoiqu’ils soient rentrés en France dans le délai fixé par ce décret, ou précédemment.

Art. 3. Les comités de surveillance établis d’après le décret du 21 mars dernier, ou ceux qui leur ont été substitués, soit par les arrêtés des représentants du peuple envoyés par les armées et dans les départemens, soit en vertu des décrets particuliers de la Convention nationale, sont chargés de dresser, chacun dans son arrondissement, la liste des gens suspects, de décerner contre eux les mandats d’arrêt, et de faire apposer les scellés sur leurs papiers. Les commandans de la force publique à qui seront remis ces mandats seront tenus de les mettre à exécution sur-le-champ, sous peine de destitution.

Art. 4. Les membres du comité ne pourront ordonner l’arrestation d’aucun individu sans être au nombre de sept, et qu’à la majorité absolue des voix.

Art. 5. Les individus arrêtés comme suspects seront d’abord conduits dans les maisons d’arrêts du lieu de leur détention ; à défaut de maisons d’arrêt, ils seront gardés à vue dans leurs demeures respectives.

Art. 6. Dans la huitaine suivante, ils seront transférés dans les batimens nationaux que les administrations de département seront tenues, aussitôt après la réception du présent décret, de désigner et faire préparer à cet effet.

Art. 7. Les détenus pourront faire transporter dans ces batimens les meubles qui leur seront d’une absolue nécessité ; ils y resteront gardés jusqu’à la paix.

Art. 8. Les frais de garde seront à la charge des détenus, et seront répartis entre eux également : cette garde sera confiée de préférence aux pères de famille et aux parens des citoyens qui sont ou marcheront aux frontières. Le salaire en est fixé, par chaque homme de garde, à la valeur d’une journée et demie de travail.

Art. 9. Les comités de surveillance enverront sans délai au comité de sûreté générale de la Convention nationale l’état des personnes qu’ils auront fait arrêter, avec les motifs de leur arrestation et les papiers qu’ils auront saisis sur elles comme gens suspects.

10. Les tribunaux civils et criminels pourront, s’il y a lieu, faire retenir en état d’arrestation et envoyer dans les maisons de détention ci-dessus énoncées, les prévenus de délits à l’égard desquels il sera déclaré n’y avoir pas lieu à accusation, ou qui seraient acquittés des accusations portées contre eux.

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Ce cinquièment de l’Article 2 est très révélateur :

Sont déclarés Suspects :

  • 5° ceux des ci-devants nobles, ensemble les maris, femmes, pères, mères, fils ou filles, frère sou sœurs, et agens d’émigrés, qui n’ont pas constamment manifesté leur attachement à la révolution ;

Il s’agit bien des Familles Catholiques, vous ne rêvez pas.

 

A l’Heure Actuelle, les plus que Suspects sont les Français Gilets Jaunes. Chaque Samedi, depuis le 17 Novembre 2018, nos oppresseurs montrent leur Vrai Visage : un Visage de HAINE qui débite des Propos Orduriers, Malsains et Blasphémateurs.

Depuis le 17 Novembre les Mutilations n’ont de cesse d’augmenter et sont dirigées avant Tout Contre des Jeunes Français avec des ARMES POINTEES SUR LES VISAGES.

Aucun casseur n’a été Mutilé, AUCUN.

Aujourd’hui, Samedi 30 Mars 2019, une Jolie Française Gilet Jaune a subi aux alentours de 10 H ce matin la Mutilation des Suspects :

LE MASSACRE REVOLUTIONNAIRE  REPUBLICAIN CONTRE LE PEUPLE DE SANG FRANCAIS NE S’EST JAMAIS INTERROMPU.

 

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